Les ELOHIM, lorsqu’ils sont arrivés pour créer la vie, il n’y avait pas que des scientifiques.
Il y avait aussi des artistes. Il y avait des artistes et des scientifiques : Les artistes sont très importants. Et, évidemment, l’Afrique est très avantagée sur ce plan. On aime ici la couleur, on aime la musique, on aime les rythmes, on aime la sculpture.
C’est pour ça que c’est magnifique de voir, d’ailleurs, en Afrique on voit très bien la beauté de la création. Si c’était juste des scientifiques, il y aurait quelques oiseaux gris, quelques animaux gris, il n’y aurait pas de couleur. Mais vous voyez ici la variété d’oiseaux, des papillons, des fleurs. C’est la preuve, parce que l’évolution ne peut l’expliquer, que ce sont des artistes. La queue d’un paon par exemple, c’est un cauchemar pour un évolutionniste parce qu’un évolutionniste, il dit que les animaux ont évolué de façon à être plus discrets
pour qu’aucun prédateur ne puisse les attraper. Oui le paon, par exemple, la queue du paon, le pauvre, il ne devrait plus en avoir parce que tous les prédateurs le voient de loin avec cette queue extraordinaire. Donc ça ne tient pas debout.
Mais l’art est très important. La plus belle chose pour un scientifique est de créer une oeuvre d’art vivante et c’est entrain de se produire. Déjà il y a, aux Etats-Unis, des artistes de la génétique qui créent de petites souris lumineuses, des lapins fluorescents.
On va pouvoir créer, de nouveau, des papillons avec des choses écrites dessus ; on va génétiquement pouvoir nous-mêmes d’ailleurs, peut-être, se donner des couleurs.
J’ai récemment écrit une chanson (parce que je fais des chansons) où je dis : je rêve d’être
un homme caméléon, capable de changer de couleur et c’est possible génétiquement.