RAEL avait annoncé au monde entier, dès son arrivée en décembre 2005 au Congo Mfoa (Brazzaville), que Adam et Eve étaient des noirs ! La fin de cette année 2006 s’est vue marquée, en Afrique, par un appel encore plus fort du Prophète RAEL au rassemblement
des Africains pour qu’enfi n ce continent retrouve sa dignité et sorte défi nitivement de la misère ! Au cours du séminaire international africain du Mouvement Raëlien qui s’est tenu du 23 au 30 décembre 2006 à Ouagadougou, le Prophète RAEL, intervenant par vidéo conférences, a lancé un émouvant appel aux médias, au millier de participants et aux rois et chefs traditionnels, pour la création des Royaumes Unis de Kama (RUK) ! En demandant
d’abord aux Africains de retrouver leur véritable identité, celle dénuée de toute influence étrangère et coloniale, le Prophète a rappelé que le nom d’origine de ce continent, avant l’invasion des arabes et la colonisation européenne, était CHAMA, ou KAMA ; faisant de ses habitants les KAMITES. Car, faut-il le rappeler, si l’on ne sait pas d’où l’on vient, on ne peut savoir où l’on va.
Le nom de Kama, Kam ou encore Kemet a fait son apparition après le déluge dans l’ancienne Egypte. Kama rappelle également le pays de Cham, soit le pays de la descendance du fils noir de Noé.
En ancien Egyptien, « Kama » ou « Kemet » signifie « la terre des noirs » et le mot « chimie « va d’ailleurs en être dérivé pour désigner « la science de l’homme noir ». Le chapitre 10 du Livre de la Genèse cite trois continents et appelle l’actuel continent noir de l’ancien nom de « Kam », le diminutif de « Kama ». Ainsi, les anciens noirs égyptiens se désignaient par le nom « Kamtou » ou « Kématou », signifiant « Noirs »…
Et pour désigner leur terre, la terre de l’homme noir, l’Afrique actuelle, ils utilisaient « Kami » ou « Kemet ». Cette racine est d’ailleurs restée au Sénégal, chez les Wolof, où « Kem » signifie « noir », chez les Bambara du Mali et du Burkina, où « Kami » signifie « brûlé, noir »; chez les Mossi (Niger, Burkina…) où « Kim » signifie « noirci, brûlé », chez les Mbochi du Congo où le mot « iKama » signifie « noirci », etc.
Avant la colonisation, les populations de ce continent vivaient en harmonie dans des royaumes dont les frontières naturelles étaient défi nies par les groupes ethniques qui composaient ces royaumes.
Les états africains actuels aux frontières artificielles tracées et voulues par le colonisateur au moment des indépendances ne peuvent garantir l’intégration et la stabilité sociale des populations. Tout comme les royaumes, la plupart des communautés ethniques se retrouvent divisées entre plusieurs Etats à la fois, vivant en frustration sous des règles souvent en contradiction avec l’épanouissement de leurs cultures.
Le résultat en est le nombre croissant des conflits et instabilités sociales, compromettant ainsi le développement de l’Afrique, ce continent qui regorge pourtant des plus grandes richesses de la planète.
Retrouver au plus vite les clefs de sa libération véritable et totale est la solution aux maux de la population de ce grand continent.